• Sur son site, le collectif Stoplinky88 présente une vidéo sur les dangers de la 5G expliqués par Martin Pall, Professeur Émérite en biochimie et Sciences médicales de l’Université de l’État de Washington, co-initiateur de l’Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’Espace.

    https://www.stoplinky88.fr/2020/03/15/la-5g-est-une-folie-un-scientifique-nous-explique-pourquoi/

     

    Martin Pall vient de publier en avril 2020 un nouvel article scientifique sur la relation 5G et COVID 19.

    Extrait :

    "Rayonnement 5G et Pandémie COVID-19 : Coïncidence ou relation Causale ?
    Les deux publications mentionnées ... démontrent qu'il y a de fortes raisons de penser que les émissions 5G stimulent l'actuelle pandémie de coronavirus (COVID-19).
    Dès lors, une mesure sanitaire urgente d'envergure consisterait à déconnecter les antennes émettrices 5G et plus particulièrement les relais cellulaires de diffusion se trouvant à proximité de nos maisons, écoles, lieux de travail, lieux de cultes et hôpitaux."

     

    Pour accéder à la traduction de l'article en français proposée par Stoplinky88, cliquer sur l'image

     

    Rayonnement 5G et Pandémie COVID-19 - Une publication du professeur Martin L. Pall de l'Université de Washington

     

    Liens cités dans la publication

    http://www.electrosmogprevention.org/international-electrosmog-prevention-news/coronavirus5g/

    https://ehtrust.org/wp-content/uploads/SafetyGuidelineFraud2.pdf


  • Article du 3 avril 2020 par Nicolas Berard, auteur du livre "Sexy, Linky ?"

    Extrait:

    " Le gouvernement a offert grâce à l’état d’urgence sanitaire une liberté totale aux opérateurs de téléphonie mobile pour implanter de nouvelles antennes-relais. Les associations dénoncent une mesure incontrôlable, qui pourrait permettre à l’industrie de préparer discrètement le déploiement de la 5G..."

     

    Pour lire la suite, cliquer sur l'image

     

    COVID-19 : EN ROUTE POUR LA 5G ?


  • Publiée le 6 mars 2020 par Le Point, cette chronique de Hubert Reeves où "l'astrophysicien s'inquiète du lancement de dizaines de milliers de satellites commerciaux, qui constituent un danger pour l'étude du cosmos".

    Extraits:

    " Un projet pharaonique qui risque de causer des dommages graves à l'astronomie et à la poursuite de notre connaissance de l'univers est en préparation. Il s'agit d'une opération de lancement de dizaines de milliers de satellites commerciaux, émetteurs et récepteurs d'ondes électromagnétiques.

    Ces instruments risqueraient de brouiller sérieusement la réception des émissions électromagnétiques en provenance des galaxies, des étoiles et des planètes. Ils constitueraient une pollution importante pour la radio-astronomie.

    ...

    Si on ne fait rien, d'ici quelques années, lorsque nous lèverons les yeux vers le ciel nous verrons plus de points lumineux artificiels que d'étoiles ! "

     

    Pour accéder à la chronique, cliquer sur l'image

    Le Point >>> Hubert Reeves – Ce projet pharaonique qui menace le ciel étoilé


  • Le 25 mars 2020, en pleine crise sanitaire, le Conseil des ministres a validé une ordonnance allégeant les procédures administratives préalables en vue de l'implantation ou de la modification d'une installation de communications électroniques.

    - suspension de l'obligation de transmission d'un dossier d'information au maire ou au président d'intercommunalité en vue de l'exploitation ou de la modification d'une installation radioélectrique ;  

    - possibilité pour l'exploitant d'une station radioélectrique de prendre une décision d'implantation sans accord préalable de l'Agence nationale des fréquences ;

    - réduction du délai d'instruction des demandes de permissions de voirie relatives aux installations de communications électroniques implantées à titre temporaire et dans le cadre d'interventions urgentes ;

    - dispense d'autorisation d'urbanisme pour les constructions, installations et aménagements nécessaires à la continuité des réseaux et services de communications électroniques ayant un caractère temporaire."

     

    Dans les deux premières procédures, la mention "à caractère temporaire" ne figure pas.
    Peut-on raisonnablement penser qu'après le confinement, ces installations seront désinstallées ?
    Quid  de la recrudescence du brouillard  électromagnétique ?

     

    Ci dessous une communication de l'association Robin des Toits sur le sujet:

     

    Le gouvernement profite de la pandémie pour déréglementer la téléphonie mobile ! Mesure provisoire ou pas?

    Le gouvernement profite de la pandémie pour déréglementer la téléphonie mobile ! Mesure provisoire ou pas?

    Le gouvernement profite de la pandémie pour déréglementer la téléphonie mobile ! Mesure provisoire ou pas?

     

    Pour consulter les vingt-cinq ordonnances prises en application de la loi d’urgence n° 2020-290 du 23 mars 2020 pour faire face à l’épidémie de Covid-19 présentées en conseil des ministres, et notamment la 6eme présentée par le ministre de l’économie et des finances et le secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances et du ministre de l’action et des comptes publics, chargé du numérique:

    https://www.gouvernement.fr/conseil-des-ministres/2020-03-25/faire-face-a-l-epidemie-de-covid-19

     


  • L'association Robin des Toits est spécialisée dans la lutte contre les aspects qu'elle juge dangereux du rayonnement électromagnétique et les implantations d'antennes-relais.  Par l'intermédiaire de son avocat, elle vient de saisir le Conseil d’état afin qu’il annule l’arrêté du 30 décembre 2019 fixant les modalités d’attribution des fréquences 5G. 

    Cette saisine repose en grande partie sur l’analyse de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) selon laquelle, à ce jour, il existe  « un manque important voire une absence de données relatives aux effets biologiques et sanitaires potentiels » de la 5G, directement liés à l’exposition aux fréquences autour de 3,5GHz.
     
    Cet arrêté prévoit certes que l’exploitation de la 5G devra se faire dans le respect des valeurs limites d’exposition aux ondes imposées par un décret du 3 mai 2002, déjà objet d'une requête en mai 2016 de Robin des Toits auprès du Conseil d’État. Or, ces valeurs ont été arrêtées il y a près de 20 ans sans évidemment envisager l’existence de la 5G et ses spécificités techniques. Elles n’ont donc pas la moindre pertinence scientifique à son égard.